Samedi, 27 Décembre 2008 01:00 3974 Clics
Le lendemain on prend la route pour rejoindre la région de Essaouira où les cromosomes ont prévu d'organiser la soirée de nouvel an ce qui fait près de 800 km par les routes secondaires en passant par Fès, Meknès, Rabbat et Casablanca.
Au bout de 2 heures de routes on décide de s'arrêter chez un marchand d'huile d'olive qui nous invite à prendre le thé avec le miel. Leur miel est excellent, je leur parle du sirop d'érable canadien qu'ils ne connaissent pas et j'en profite pour leur amener un pot et un morceau de bon fromage. Aucun marocain n'a voulu de fromage mais quelques un on goûtés au sirop d'érable qui à intrigué tous le monde surtout quand ils ont enfin compris que ça ne venait pas d'une fleur mais de la sève de l'arbre.
Après le thé on c'est mis d'accord sur le prix de l'huile pressée par l'âne pour 40 dirhams le litre, c'est plus cher qu'à la machine mais de meilleure qualité.
A force de prendre notre temps sur la route, on c’est retrouvé avec beaucoup de retard pour rejoindre Essaouira pour le nouvel an. On aura rien vu des villes impériales de Fès et Meknès ni de Rabat et de Casablanca. J’espère y passer sur le chemin du retour même si beaucoup de marocains nous recommandent de rester vers les campagnes où le contact est plus humain et moins déformer par l’argent.
La route entre Meknès est Rabat est très bonne et à partir de là on à fini par prendre l’autoroute. C’est là qu’on à vu d’autre type de changement sur camion, moins spectaculaire que les camions de paille de 8 mètres de hauts mais tout aussi amusant.
Sur l’autoroute il n’est pas rare de voir des autostoppeurs, des troupeaux d’animaux en bordure et des cueilleurs d’herbe pour les animaux du souk. Il y à eu aussi une voiture à qui à décider de changer de direction sur l’autoroute en coupant de terre plein central.
On à pas fini d'en voir au Maroc.
Ane en train de moudre des olives avec une meule pour faire de l'huile
< Précédent | Suivant > |
---|